La culotte indispensable contre les infections urinaires à répétition.

Sur: comment Commentaire: 0

Quelle femme n’a jamais fait une infection urinaire ? Elles sont peu à pouvoir s’en prévaloir. Il n’y a pas de saison, même si en période estivale, l’inconfort généré semble souvent supérieur.

La culotte indispensable contre les infections urinaires, n’a pas pour but de traiter mais d’améliorer le confort des femmes tout en limitant les récidives. En effet, non traitées ou mal traités, les cystites peuvent avoir de graves conséquences. Il sera donc important de diminuer les récidives après traitements. Nous allons donc dans une première partie faire le tour des causes potentielles, des symptômes, pour ensuite s’attarder rapidement sur les traitements et surtout la limitation des récidives.

Découvrez ici nos sous-vêtements en coton qui offriront de la douceur à votre corps

I. La cystite c’est quoi ?

On parle souvent d’infection urinaire dans son ensemble, mais la cystite est la plus fréquemment rencontrée chez la femme. C’est une infection urinaire localisée au niveau de la vessie, due dans 90% des cas à Escherichia Coli, parfois des levures s’en mêlent. Elle est majoritairement sans gravité, et cède au traitement. On parle dans ce cas de cystite aiguë. La bactérie responsable est naturellement présente dans le tube digestif (colon, rectum), lorsqu’elle pénètre dans l’urètre et remonte dans la vessie, elle va pouvoir se multiplier et générer l’infection. La femme a un urètre beaucoup plus court que l’homme c’est pourquoi les cystites sont beaucoup plus fréquentes chez la femme. On sait qu’une femme sur deux a au moins une cystite au cours de sa vie avec deux pics de fréquence : au début de l’activité sexuelle et après la ménopause.

Parfois ce sont des cystites chroniques ou récidivantes, dans ce cas il s’agit d’au moins 4 épisodes par an, dont les causes sont variées mais dont les conséquences sont identiques : la qualité de vie est dégradée.

Il faut être à l’écoute de son corps et connaître les symptômes :

  • Brûlures ou douleurs en urinant
  • Sensation de lourdeurs ou douleurs dans le bas ventre
  • Sensation d’avoir envie d’uriner en permanence sans pouvoir se retenir
  • Alors que l’envie est fréquente on évacue très peu d’urine
  • Urines troubles, odeur inhabituelle, contenant parfois des traces de sang.

Contrairement à d’autres infections urinaires, type pyélonéphrite, il n’y a pas de douleur lombaire, pas de fièvre.

Lorsqu’on parle d’infections urinaires à répétition, on parle d’environ 25% des femmes, dont le risque de complication est à prendre très sérieusement en compte. Quels sont donc ces risques à éviter ?

  • Le risque de propagation aux reins, provoquant une pyélonéphrite et des dommages rénaux irréversibles : insuffisance rénale…
  • Le risque de développer une infection généralisée, une septicémie, en particulier chez les immunodéprimées.

Traiter et prévenir sont les deux maîtres mots en cas d’infection.

Les traitements :

  • Les antibiotiques
  • Les antiseptiques urinaires
  • Les analgésiques

Buvez beaucoup d'eau.

Urinez dès que vous en ressentez le besoin : ne vous retenez pas.

Lors de votre toilette intime, ne prenez pas de douches vaginales.

N'utilisez pas de produits d'hygiène intime parfumés, ni de bains moussants.

Portez des sous-vêtements en coton et évitez les pantalons moulants.

Si l'infection survient après les rapports sexuels, urinez tout de suite après chaque rapport et évitez l'usage des spermicides.

Rôle des sous-vêtements dans les cystites ?

On entend beaucoup parler des sous-vêtements lors des cystites mais quel est leur rôle?

Dans un premier temps, soyons clairs, aucun sous-vêtement n’est responsable d’une infection urinaire mais ….certains peuvent favoriser leur apparition.

Les culottes en matières synthétiques, comme le nylon ou le polyester ne favorisent pas l’élimination de l’humidité ainsi la zone intime devient un véritable nid pour la croissance bactérienne et donc pour la multiplicité des infections.

Mais ce n’est pas tout, porter des sous-vêtements trop serrés augmente les frottements sur la zone intime engendrant rougeurs, irritations démangeaisons favorisant l’apparition d'infections urinaires.

Il est donc recommandé de privilégier une lingerie tout coton sans élasthanne plus absorbante, plus douce et moins serrée. Mais attention à ce qui se cache derrière la mention « coton » de la majorité des culottes. Lorsqu’on lit les étiquettes, vous trouverez bien entendu de l’élasthanne, et là fini le bénéfice du coton : ça démange, ça serre et ça frotte. On se retrouve donc avec un équivalent de sous-vêtement synthétique. Alors quelle solution adopter ? Quelle lingerie choisir pour renouer avec le confort ? Comme dit précédemment, la lingerie ne va pas traiter une infection urinaire, mais elle pourra, si vous la choisissez-bien, être votre alliée anti-récidives. Votre meilleur allié : La gamme Sénovie. En effet voici tous ses avantages :

Nous pourrons conclure, en disant que le choix de la lingerie est fondamental dans la diminution des récidives d’infections urinaires. Savoir lire une étiquette en recherchant du véritable 100% coton est déjà un premier pas. Le gousset doit absolument être en fourreau car toute couture finit par créer une abrasion, sachant que les fils sont synthétiques. Sénovie, depuis sa création œuvre pour le confort et le bien être de toutes les femmes c’est pourquoi la culotte indispensable sera votre alliée de choix.

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment!

Laissez un commentaire

Dimanche Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre

Nouveau compte S'inscrire